REMERCIEMENTS

 

Avec toute ma tendresse

Je tiens à remercier ma petite nièce, Charlène la marraine de Julie, ainsi que Julien, sans qui ce site n'existerait pas.

 

 

 

 

Merci à maman d'être toujours là pour moi...pour nous.

 

Je t'aime maman

Chez nous, En Espagne, Maman et moi, j'avais 18 ans.

Sur la grande bleue avec Félix et Léa.

Maman, Félix, Léa, Julie et Margaux

 

Il y a plus de fleurs
Pour ma mère, en mon coeur,
Que dans tous les vergers ;

Plus de merles rieurs
Pour ma mère, en mon coeur,
Que dans le monde entier ;

Et bien plus de baisers
Pour ma mère, en mon coeur,
Qu’on en pourrait donner.

 

 

 

 

Merci à Francis de mettre du bleu dans ma vie.

 

L'absence

Le tango lent de ton sang dans mes veines
J'entends battre ta vie plus que la mienne
Quand la nuit rapproche ceux qui sont loin
Un matin prend ma place et je m'éteinds

Nulle envie nulle pensée pour personne
L'absence à tous prix que l'on me pardonne
Quand on n'est même plus la moitié d'un
Comme un billet déchiré ne vaut rien
Les saisons ne sont plus que de passage
Les couleurs ont déserté mes images
Je reverais tout quand tu seras là
Je repeindrais tout quand tu reviendras

 

 

Merci à Nath pour son soutien...

 

 

Merci mon Kevin...

Julie adore Diddl

 

L'attente

Blanc.. désert de blancheur
silence morne noire solitude
au loin un vieil arbre s'effondre
vaincu par le poids de la neige
craquement sinistre
odeur de mort qui rôde

un froid me pénètre
consume mon intérieur
en mon coeur écartelé
s'installe le mal d'aimer

faut-il être aveugle pour voir
faut-il devenir sourd pour entendre
dites-moi... que faut-il pour accepter
non... ne dites mot
laissez-moi me pleurer
me déverser en larmes amères
me dessécher, une dernière fois me déchirer

lambeaux d'espoirs
rêves disparus
laissez-moi vouloir me réveiller
un jour viendra je sais
à mon tour je joindrai
le long cortège des éplorées
les mal aimées, les esseulées

je ne suis qu'une étoile
dans un ciel ombragé
pâle reflet, amour oublié
je ne suis que l'ombre
d'une ombre dérisoire
vite dissipée

j'ai marché sur un fil de verre déjà fêlé

la nuit se prolonge à l'infini
dans l'attente j'écoute les étoiles chanter
en dessinant son corps
dans l'attente d'un mot, un signe
un je ne sais quoi

 

 

 

Juju et Lolote nos deux éternelles merveilles.

Merci Michel

 

 

A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
En serrant dans ma main tes p'tits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d' pieds pour de faux
Et entendre ton rire qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux qu'on piquait chez l' marchand
Car-en-sac et Minto, caramel à un franc
Et les mistrals gagnants

A r'marcher sous la pluie cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un p'tit peu
Et sauter dans les flaques pour la faire râler
Bousiller nos godasses et s' marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, r'partir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants

A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps qu'est mort et je m'en fou
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge, ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie
Et l'aimer même si le temps est assassin
Et emporte avec lui les rires des enfants
Et les mistrals gagnants
Et les mistrals gagnants

 


 

Merci Josyane

 

"Et surtout, gardez le souvenir de cette jolie petite fille que vous avez eu le bonheur de connaître même pour une courte vie, c'est un merveilleux cadeau..."

 

 

 

 

 

 

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